jeudi 30 mai 2013

"Coupe" mystérieuse


Un jour de congé, un soleil éclatant. La plage ? Non, un bon ménage, qui m'a donné l'occasion de déplacer cette très imposante  (environ 50 cm de diamètre sur 20 cm de haut) et lourde (une dizaine de kilos) coupe "cubiste" (?) d'un bel orange nuancé de pyrites noires que je n'arrive pas à identifier.

La signature, sous la base, est en effet assez ésotérique :


Un monogramme du type VDC ou VDCo et des chiffres, 12 (ou 1Z) et 07.

Qui aurait la solution de l'énigme ?

Merci d'avance !

Je retourne dépoussiérer, avant d'aller, tout compte fait, bronzer un peu...

PS : je vous parlais dans mon précédent billet de mon ami Javier. Il vient tout juste de m'envoyer une photo qui résume ses passions, PROUVÉ et RUELLAND :


Pas mal, n'est-ce pas ?

Je réplique par "ça" :


Un partout !

(...) 2 heures de plage, ça suffit pour prendre quelques couleurs, d'autant plus que le temps s'est malheureusement gâté. Incroyable ce printemps pourri... J'en ai profité pour passer l'après-midi à Nice et faire le tour des galeries et des ami(e)s, me demandant bien quelle céramique j'allais bien pouvoir m'offrir suite à la vente d'un timbre rare hier soir. Eh oui, l'argent c'est fait pour circuler ;-). Ce ne sera pas une céramique car j'ai trouvé mon bonheur dans une petite galerie du quartier du port, que je vous recommande vivement : la galerie Bernard B. (5 rue Antoine Gauthier), tenue par Bernard BONETTO. Notre homme, très sympathique et fin connaisseur, défend la bonne peinture de la seconde partie du XXe siècle produite par des artistes un peu oubliés. Et Dieu sait s'il y en a ! J'ai ainsi eu un véritable coup de coeur pour une très belle et grande (81 x 100 cm) toile abstraite de Loïs FREDERICK, à la matière riche et aux couleurs éclatantes :


Ce nom ne vous dira probablement rien. D'origine américaine, cette artiste a pourtant fait de très belles choses, dans la mouvance de la célèbre seconde École de Paris, mais n'a hélas pas eu l'audience de son mari, le peintre Gérard SCHNEIDER, compagnon de route de SOULAGES et d'HARTUNG...

Un tableau qui remplacera de temps à autre le superbe portrait d'HARTUNG à la fin de sa vie, signé Philippe BONAN, au dessus de mon bureau.

Je suis rentré heureux, d'autant plus que je suis passé chez mon amie Annonciade récupérer une très belle estampe d'André VERDET, parfaitement encadrée, comme d'habitude (PUGLISI Encadrement etc., 12 rue Defly) :


Une estampe que "les filles" ont visiblement l'air d'admirer ;-).

2 commentaires:

  1. excusez moi mais ....il me semble qu il reste de la poussiere sur la bouteille gris bleuté a droite de la bouteille vert émeraude ;-)!!!allez zou, on remets son ptit tablier et on prends son plumeau hop hop !!

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  2. Comment ça, il reste de la poussière ? Non mais ! Les miss sont vexées !

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